17h30 - 19h30
Orateur(s)
François PICHAULT, Professeur à HEC-ULg, Directeur du LENTIC (HEC- ULg), Virginie XHAUFLAIR, Chargée de recherche au LENTIC (HEC-ULg) et Nathanaël HARCQ, Directeur de l'ESACT à Liège
Arts et restructurations d’entreprises
Résumé
Si la déception était palpable hier, lorsqu’a débuté l’atelier-conférence LIEGE CREATIVE, juste après l’annonce des résultats des votes du BIE, la rencontre aura confirmé encore combien l’avenir nous appartient, si nous voulons nous y investir !
La réflexion à l’ordre du jour pouvait néanmoins sembler provocatrice : "Que peut bien venir faire l’art alors qu’on parle de restructurations ?".
Après avoir présenté le contexte dans lequel s’inscrit la rencontre "Arts et restructurations d’entreprises", François Pichault, Directeur du LENTIC (HEC-ULg), aux commandes de la soirée, cède la parole à Olivier Parfondry investi, pour les circonstances, de mettre à l’épreuve un projet soutenu par le Ministre Marcourt : implanter un incubateur sur le Val Benoît.
Les participants, issus des mondes de l’entreprise, de l’université et de l'art,... sont les acteurs de cette rencontre. Au cours d'un speed-dating de 30 minutes, répartis en 4 groupes, ils rencontrent tour à tour des représentants du secteur artistique, du patronat, du milieu académique, et un syndicaliste afin de débattre de ce projet.
Chaque groupe commente ensuite le fruit de ses réflexions exprimé sous forme d'un dessin, avant la dernière intervention de François Pichault pour une synthèse conceptuelle.
Impossible de résumer ici tout ce qui a été soulevé lors de cet atelier.
Mais quant à la question d’analyser la pertinence d’un levier artistique dans un contexte de redéploiement, plusieurs éléments sont mis en évidence : l’art a un potentiel transformateur en tant que lien entre ce dont on hérite et ce qu’on veut réinventer. Une de ses forces principales réside dans ses potentialités de dévoilement (libération, mise à jour de zones d’ombre, de dimensions non perceptibles,…).
On se quittera avec cette interrogation lancée par un participant, soulignant les différences de langage inhérentes aux 3 mondes (artistique, académique et entrepreneurial) : faut-il se mettre d’accord autour d’un langage commun, s’entendre sur la définition des concepts, préalablement à toute discussion ?
Ou, ne faut-il pas considérer précisément que la richesse de la confrontation tient aux façons différentes d’appréhender la réalité ?
LIEGE CREATIVE soutient que la complémentarité est source de créativité !
Nous remercions encore François Pichault, Virgine Xhauflair (HEC-ULg / LENTIC), Nathanaël Harcq (ESACT de Liège), Brigitte Coppens (CMI), Olivier Parfondry et Antoine Fanara (FGTB) pour leur précieuse collaboration à cet atelier-conférence.
Pour approfondir la réflexion quant à la pertinence des leviers artistiques et créatifs dans une perspective de redéploiement, consultez le site : www.arts-restructurations.org
Plus d'infos sur le LENTIC
La réflexion à l’ordre du jour pouvait néanmoins sembler provocatrice : "Que peut bien venir faire l’art alors qu’on parle de restructurations ?".
Après avoir présenté le contexte dans lequel s’inscrit la rencontre "Arts et restructurations d’entreprises", François Pichault, Directeur du LENTIC (HEC-ULg), aux commandes de la soirée, cède la parole à Olivier Parfondry investi, pour les circonstances, de mettre à l’épreuve un projet soutenu par le Ministre Marcourt : implanter un incubateur sur le Val Benoît.
Les participants, issus des mondes de l’entreprise, de l’université et de l'art,... sont les acteurs de cette rencontre. Au cours d'un speed-dating de 30 minutes, répartis en 4 groupes, ils rencontrent tour à tour des représentants du secteur artistique, du patronat, du milieu académique, et un syndicaliste afin de débattre de ce projet.
Chaque groupe commente ensuite le fruit de ses réflexions exprimé sous forme d'un dessin, avant la dernière intervention de François Pichault pour une synthèse conceptuelle.
Impossible de résumer ici tout ce qui a été soulevé lors de cet atelier.
Mais quant à la question d’analyser la pertinence d’un levier artistique dans un contexte de redéploiement, plusieurs éléments sont mis en évidence : l’art a un potentiel transformateur en tant que lien entre ce dont on hérite et ce qu’on veut réinventer. Une de ses forces principales réside dans ses potentialités de dévoilement (libération, mise à jour de zones d’ombre, de dimensions non perceptibles,…).
On se quittera avec cette interrogation lancée par un participant, soulignant les différences de langage inhérentes aux 3 mondes (artistique, académique et entrepreneurial) : faut-il se mettre d’accord autour d’un langage commun, s’entendre sur la définition des concepts, préalablement à toute discussion ?
Ou, ne faut-il pas considérer précisément que la richesse de la confrontation tient aux façons différentes d’appréhender la réalité ?
LIEGE CREATIVE soutient que la complémentarité est source de créativité !
Nous remercions encore François Pichault, Virgine Xhauflair (HEC-ULg / LENTIC), Nathanaël Harcq (ESACT de Liège), Brigitte Coppens (CMI), Olivier Parfondry et Antoine Fanara (FGTB) pour leur précieuse collaboration à cet atelier-conférence.
Pour approfondir la réflexion quant à la pertinence des leviers artistiques et créatifs dans une perspective de redéploiement, consultez le site : www.arts-restructurations.org
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